HCM

"L’origine de la HCM chez le chat La maladie peut avoir une origine congénitale, héréditaire ou être acquise en tant que conséquence d'une autre maladie. Il existe une forme héréditaire de HCM dans plusieurs races, et pour certaines races, un test génétique est disponible. C’est le cas chez le Maine Coon et le Ragdoll. Les symptômes de la HCM chez le chat Les symptômes de la myocardiopathie hypertrophique féline peuvent varier d'un chat à l'autre, mais les signes les plus courants incluent une difficulté à respirer, une toux, une perte d'appétit, une léthargie et une intolérance à l'exercice. Dans les cas les plus graves, le chat peut également présenter des signes de faiblesse, des syncopes et même un gonflement abdominal dû à une accumulation de liquide. À noter que la majorité des chats ne présenteront pas de symptômes avant le développement d’une insuffisance cardiaque congestive aiguë (œdème pulmonaire, arythmies, épanchement pleural, thrombose artérielle associée). Dépistage de la HCM chez le chat Comme on l’a vu plus haut, il existe un test génétique pour le Maine Coon et le Ragdoll. Néanmoins, comme c’est une pathologie courante, des contrôles réguliers chez tous les chats de race, ou de maison, devraient être généralisés. Pour diagnostiquer la myocardiopathie hypertrophique, le vétérinaire effectuera un examen physique complet, écoutera le cœur du chat à l'aide d'un stéthoscope et en cas de commémoratifs évocateurs concordants, il réalisera également des tests tels qu'une échographie cardiaque complétée par un Doppler, un électrocardiogramme ou une radiographie thoracique. À noter que le vétérinaire qui réalise ses examens doit être spécialisé en cardiologie féline."

Source: Myocardiopathie hypertrophique Chat - HCM Chat | chat-et-chaton.com

PKD

"La PKD est une maladie d’origine génétique qui touche le persan mais aussi l’exotic shorthair et le british shorthair. Elle est caractérisée par le développement progressif et irréversible de kystes dans les reins aboutissant à une insuffisance rénale chez l’animal adulte voire âgé. La PKD fut découverte en 1967.

Historiquement, le diagnostic de la PKD se faisait par échographie des reins : un diagnostic positif était émis en cas de visualisation de kystes rénaux, très souvent présents sur les deux reins.  Actuellement, cette méthode diagnostic est encore utilisée en cas de suspicion de PKD chez un chat insuffisant rénal.

Cependant, le diagnostic échographique est trop tardif pour les éleveurs puisque les chats développant des symptômes ont souvent déjà l’âge de reproduire et sont donc succeptibles d’avoir déjà une descendance. Fort heureusement, en 2004, le gène responsable de la PKD a été identifié et un test génétique permettant de dépister les chats porteurs du gène a été créé. Ce test est principalement utilisé par les éleveurs, en prévention, afin de ne pas reproduire des chats porteurs du gène."

Souce: La polykystose rénale ou PKD - Royal Fragrance

FELV

LE FEV OU LEUCOSE FÉLINE

QU’EST-CE QUE LA LEUCOSE ?

"La leucose féline est une maladie virale grave. Elle est due à une infection par le virus leucémogène félin, nommé FeLV.
Le FEV est parfois confondue avec le FIV. Bien qu’il y ait des similitudes entre ces deux maladies, ce sont bien deux maladies distinctes. Il existe un vaccin contre la leucose féline.

Les chats contractent le virus FeLV par l’intermédiaire de la salive, des urines ou du sang de chats atteints de leucose. La contamination se fait donc lors de léchage, griffures, morsures, saillies…
Une transmission transplacentaire du virus est également possible, c’est à dire qu’une chatte gestante atteinte de leucose risque de transmettre le virus à tous ses chatons.
Le virus est peu résistant dans le milieu extérieur, toutefois une contamination indirecte peut parfois avoir lieu.

La période d’incubation de la leucose féline est très variable
– Certains chats sont porteurs du virus mais ne présentent des symptômes que plusieurs années plus tard.
– D’autres peuvent rester porteurs sains et ne jamais déclarer la maladie, mais sont néanmoins capables de transmettre le virus.
– Dans la plupart des cas, un chat qui est porteur du virus FeLV est porteur jusqu’à la fin de sa vie. Il est très rare qu’un chat arrive à “éliminer” le virus.

QUELLES SONT LES CONSÉQUENCES POUR L’ANIMAL ?

Le virus FeLV entraîne une immunodéficience : le système de défense de l’organisme devient défaillant et incapable de défendre l’animal contre les différents types de maladies (ces chats contractent alors de nombreuses autres pathologies comme la péritonite infectieuse féline, des abcès, des stomatites et gingivites chroniques, une hémobartonellose…)
La leucose féline entraîne souvent des anémies (diminution du nombre de globules rouges), des leucopénies (diminution du nombre de globules blancs).
Elle peut également être à l’origine d’insuffisance rénale chronique, d’avortements et elle peut favoriser le développement de nombreuses tumeurs cancéreuses.
On peut donc rencontrer des symptômes très variés comme de la fièvre, un amaigrissement, un abattement, une baisse d’appétit, des troubles digestifs, respiratoires, une pâleur des muqueuses…

Votre vétérinaire peut diagnostiquer la leucose féline grâce à un test sanguin. Malheureusement, aucun traitement ne permet réellement d’éliminer le virus. Les traitements qui sont proposés permettent une rémission de la maladie ou une amélioration du confort de vie de l’animal. Un traitement avec des injections d’interféron permet souvent une bonne amélioration et une augmentation de l’espérance de vie du chat. En cas de cancer, le traitement est fait au cas par cas. Il peut être chirurgical ou médical selon le type de cancer. Mais quoi qu’il en soit, la prise en charge d’un chat infecté par le FeLV est toujours très délicate et le pronostic est souvent très réservé.

Heureusement, le vaccin contre la leucose féline existe et est efficace ! Avant de faire le vaccin contre la leucose, il est recommandé de faire tester votre chat par votre vétérinaire, afin de savoir s’il est déjà porteur du virus ou non.
La première injection du vaccin contre la leucose féline se fait à l’âge de 8 semaines, et la 2ème injection 3 à 4 semaines après. Ensuite, comme pour les autres vaccins, un rappel annuel est nécessaire afin que l’immunité reste bonne.
Nous vous rappelons que la vaccination peut être commencée même sur un chat adulte qui n’a jamais été vacciné."

Source: Les maladies du chat : FIV, leucose et coryza | La SPA (la-spa.fr)

FIV

LE FIV (virus de l'immunodéficience féline)

QU’EST-CE QUE LE FIV ?

"Le Virus de l’Immunodéficience Féline ou FIV (Feline Immunodeficiency Virus, en anglais), aussi appelé Sida du chat, est une maladie virale. Elle est due à un virus qui appartient au groupe des rétrovirus. Cette maladie est responsable d’une immunodéficience qui rend le chat vulnérable aux infections.
Le virus est dépisté grâce à un test sanguin, systématiquement réalisé sur les chats pris en charge dans chaque refuge de la SPA. Lorsqu’un chat est testé « positif », cela ne signifie pas qu’il est malade, mais qu’il est séropositif. Autrement dit, que le virus « sommeille » dans son organisme, où il peut rester silencieux pendant plusieurs années (5 à 10 ans) et peut-être même ne jamais se réveiller.
La contamination se fait par le sang, donc par bagarre ou rapport sexuel avec un chat contaminé. Il n’y a aucun risque de transmission du chat à l’homme, et la maladie n’est pas non plus transmissible aux autres espèces. Elle n’atteint que les chats.

QUELLES SONT LES CONSÉQUENCES POUR L’ANIMAL ?

Le virus reste latent pendant un temps indéfini, sans aucune conséquence sur la santé du chat. Les chats porteurs du virus peuvent vivre de nombreuses années, voire toute leur vie, sans jamais déclencher la maladie. Rien ne permet d’éviter le déclenchement, le prédire ou le retarder.
Il existe donc deux cas de figure quand vous adopter un chat positif FIV :
– Il ne se passe rien, le chat est asymptomatique et vit normalement pendant un temps indéfini (le FIV n’est pas déclaré),
– Si le FIV se déclenche, le chat perd ses défenses immunitaires : des maladies opportunistes courantes s’invitent dans l’organisme du chat immunodéprimé puisqu’il n’est plus protégé (gingivite, coryza chronique, insuffisance rénale chronique, etc.). Il n’existe aucun traitement pour détruire le virus FIV. La seule possibilité pour améliorer la vie du chat est de traiter les maladies opportunistes au fur et à mesure qu’elles atteignent le chat. Mais, les récidives sont souvent très fréquentes. Et une fois que le virus est « réveillé », le pronostic est malheureusement sombre pour le chat à court ou moyen terme.
Malheureusement, il n’existe aucun vaccin contre le FIV, contrairement au FeLV (leucose). Le seul moyen d’éviter la propagation est donc d’éviter les contacts entre les chats sains et les chats porteurs. Il est recommandé de faire stériliser les chats (mâles ou femelles) qui sortent afin d’éviter les bagarres (et donc les morsures) et la transmission vénérienne du virus"

Source: Les maladies du chat : FIV, leucose et coryza | La SPA (la-spa.fr)

Mme MOUMENI Amandine

Lens, 62300

galeriefelineragdolls@gmail.com


0663851902

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